L’équipe pluridisciplinaire

L’équipe de la PlaTec s’est construite à l’interface de l’informatique et des sciences humaines :

  • Loïc Jaouen est informaticien. Il est chargé de:
    • déployer les outils du DaSCH à l’Unil (satellite DaSCH@Unil),
    • importer/transférer, mettre en forme des données,
    • développer des interfaces graphiques spécifiques pour les projets,
    • intégrer des fonctionnalités qui revêtent une importance particulière pour les chercheurs de l’Unil aux outils du DaSCH.
  • Marion Rivoal possède un doctorat en archéologie. Elle coordonne le DaSCH@Unil et assure l’interface entre les chercheurs et les informaticiens de la PlaTec et du DaSCH. Elle travaille en collaboration étroite avec les équipes de recherche pour évaluer leurs besoins et encadrer la conception de bases de données répondant aux attentes des chercheurs.

Le réseau

La PlaTec s’appuie sur des collaborations qui lui permettent d’élargir ses compétences. Au nombre de ces collaborations figurent :

  • le DaSCH, infrastructure nationale supervisée par le SFNS, en charge de la conservation et de l’archivage à long-terme des données de recherche en SHS ;
  • le Centre Informatique de l’UNIL, qui met à la disposition de la PlaTec les serveurs qui leur permettent d’héberger les données de recherche et d’assurer leur duplication sur plusieurs sites pour garantir leur sauvegarde ;
  • UNIRIS, et notamment Carmen Jambé, responsable de la gestion des données de recherche à l’Unil ;
  • les consultants-recherche des facultés de Lettres, Sciences Sociales et Politiques et Théologie et Sciences des Religions, avec lesquelles la PlaTec organise régulièrement des ateliers de formation à la gestion des données ;
  • FORS, avec qui la PlaTec collabore, notamment dans le cadre d’actions de formation.

A l’origine de la PlaTec

La création de la PlaTec fait suite à un projet-pilote qui s’est déroulé entre juillet 2013 et juin 2015. Piloté par l’université de Bâle, il impliquait l’UNIL et l’université de Berne et avait pour objectif de remédier au problème que pose à court-terme, pour les institutions de recherche, le maintien dans la durée des bases de données de recherche en sciences humaines.

Le projet-pilote étudiait donc les pistes permettant de garantir la conservation de ces données complexes et structurées, mais aussi leur accessibilité dans le temps et préparait la voie à la création d’une infrastructure nationale chargée de la gestion des données de recherche : le Data and Service Center for the Humanities.